Presse

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Christian Bénéteau – Radio Accord 16″ :

Trad’Ouïr nous propose des thèmes déjà  connus dans des arrangements rajeunis. Du pur plaisir de découverte.
Sous le thème général de « Mutation » une grande variété de forme que les musiciens mettent bien en évidence.
Un excellent disque de musique tradionnelle autant pour ce qui est des interprètes que de la réalisation et de la production.


Thierry Laplaud TRAD MAG

Pour un bon bal folk, je vous recommande Trad’Ouïr. Un large répertoire, comme il se doit.
Des musiciens qui ont de la pêche et de la technique. Une musique agréable et tout ce qu’il y a de carré pour la danse. C’est ce que vous retrouverez sur leur deuxième enregistrement.
Il manque aux parisiens une locomotive, Trad’Ouïr peut aujourd’hui l’être sans conteste.
Deux temps jusqu’à  7 temps, c’est dans leur cd (et sur les parquets bien entendu), à  travers de nouvelles compos et même une danse « psychédélique », peut être pour s’ouvrir au « Néo-Bal » ainsi qu’une reprise d’un morceau des Pires « Yé ké yé ké ». A déguster sur les parquets et sur votre platine et sans modération s’il vous plaît.


Thierry Laplaud dans TRAD MAG n°89
Le samedi soir, c’est le bal avec ce 22 mars le groupe parisien Trad’Ouir qu’on n’avait plus eu l’occasion de voir depuis un moment. C’était un tord. De réels progrès depuis leur dernier enregistrement. Un groupe en place qui alterne compositions et traditionnels avec une pêche et un réel souci de la danse trad. A découvrir bientà´t sur leur deuxième galette ou sur les parquets.


25ème Festival Musiques et Danses du Monde de la MJC de Ris-Orangis
Anne Barbichon, 20 mai 2000

Quatre musiciens d’une même famille – les trois frères Riou : Grégoire, Marc et Pierre et leur père, Hervé – et Denis Pénard, un ami d’enfance de Pierre, ont joué avec les mots en donnant au groupe qu’ils forment ensemble depuis février 1996, le nom de Trad’Ouïr, Ouïr étant l’anagramme de … Riou et signifiant entendre, écouter mais aussi « être à  l’écoute ».
A l’écoute éclectique de musiques, les musiciens du groupe le sont depuis longtemps. Hevé Riou faisant partie de « La Faribole » » a appris des musiques et des danses traditionnelles au sein de cette association francilienne pendant de nombreuses années. Les trois frères, tout en entendant de la musique folk lors des sorties familiales, se sont essayés très tà´t à  divers instruments (percussions, flà»tes) et ont joué du rock et du jazz, avant de suivre des stages avec des musiciens de la scène traditionnelle. Denis Pénard, quand à  lui, a suivi un cursus de violon dans le cadre d’un conservatoire.
Tous les airs joués par le groupe le sont avec une grande maîtrise instrumentale, qu’il s’agisse de standards des bals folk ou de morceaux inédits composés d’oreille. Chacune de ces compositions originales bénéficie d’une mise en place orchestrale très soignée. En plus d’être une danse spécifique , elle créé sa propre ambiance et réserve toujours une surprise musicale.
Ainsi, on pourra danser sur des bourrées au léger accent balkanique, valser sur des airs mélodieux ou, au détour d’un an-dro, être saisi par des attaques de bombardes très toniques !
avec : Denis Pénard (violon), Grégoire Riou (accordéon diatonique), Hervé Riou (cornemuses, flà»tes, clarinette diatonique, bombarde), Marc Riou (percussions, flà»tes irlandaises, bombarde) et Pierre Riou (guitare).


Thierry Laplaud – Trad Mag n°67 – Septembre / Octobre 1999

Je l’avoue volontiers, j’ai un faible pour ce groupe. C’est l’un des plus beaux bals de la région parisienne. Ils sont les enfants des Fubu, Mélusine, Ti Jazz et Bouffée d’airs parisiens. C’est la nouvelle génération, élevée au boom folk, qui s’exprime avec un ancien de la Faribole (une association mais aussi un groupe de bal qui a beaucoup oeuvrée pour les musiques trad en région parisienne). Influencés principalement par Dédale et Bruno Le Tron, ils font preuve avec cet enregistrement d’une belle maturité. Dix compositions pour danser. Dix morceaux a écouter. Dix plaisirs déja partagés. Meme si leur musique est encore un peu froide, on sent percer d’indéniables qualités non seulement artistiques mais aussi émotionnelles.
Retenez bien leur nom et courez les voir.


Journal de la ville – Auditorium de L’Haÿ les Roses (Val de Marne)

Le nom d’un groupe en dit souvent très long. Avec le groupe « Trad’Ouïr », venu de Cachan, c’est tout un programme ! Explications d’Hervé, l’un des musiciens : « Trad' » c’est pour traditionnel, car nous jouons de la musique folk, et « Ouïr » c’est, bien sà»r, comme « ouïr », mais c’est aussi l’anagramme du nom de famille de quatre d’entre nous, les Riou. Car « Trad’Ouïr », c’est avant tout une histoire de famile et d’amitié. La passion de la musique a en effet réuni trois fils et leur père, les Riou, et un ami, Denis Pénard. Grégoire est à  l’accordéon diatonique,
Marc aux percussions et à  la flà»te irlandaise, Pierre à  la guitare, Hervé, le père, joue de la cornemuse et de la bombarde, quant à  Denis, il accompagne ses amis au violon.
Ensemble, ils interprètent un répertoire d’inspiration folk et mettent à  l’honneur des airs venus de toute l’Europe, mais aussi de nos régions, de Bretagne, d’Auvergne, ou encore du Berry.